Ça tombera pas plus bas
24 heures, 03 novembre 2023, Quatre créations théâtrales à ne pas manquer
« L’échec? Un tabou vertigineux, dans nos sociétés déifiant le culte de la réussite. Parler des ratés peut donc vite s’avérer embarrassant. Cette gêne, la Compagnie Alors Voilà, la porte magnifiquement sur scène – une faculté drolatique à incarner ces mimiques, ces yeux qui se baissent dans les non-dits honteux, que les deux jeunes comédiennes avaient déjà démontrée lors de leur précédent spectacle sur la masturbation, «Y a pas de mal». »
« Un spectacle sur l’échec ne se rate pas. Entre confessions et comédie clownesque, le duo Alenka Chenuz et Amélie Vidon transforme le malheur des autres en un petit bonheur scénique. […] « Ça tombera pas plus bas » n’est toutefois pas qu’une suite de témoignages, c’est aussi un jeu de chat et de sourire sur le thème de l’échec avec du chant, de la magie et quelques emprunts à l’art du clown. […] Un spectacle à la fois malicieux et grave, drôle et grinçant. »
« Elles nous ont fait beaucoup rire avec Y a pas de mal, leur premier spectacle […] les deux artistes reviennent sur scène avec Ça tombera pas plus bas, un spectacle qui parle de l’échec. […] Là aussi, un travail basé sur des interviews et des expériences personnelles, le tout traité avec humour. »
VERTIGO, RTS La Première, 02 novembre 2023
« Un spectacle délirant, extrêmement drôle, qui parle d’échecs. On est dans le langage familier, les expressions de tous les jours, précisément ce que vont chercher ces deux comédiennes pour créer leur spectacle. Un spectacle à ne pas rater ! »
LE PROGRAMME.CH, 03 novembre 2023, L’échec tel qu’il est
« Minuscule ou majuscule, l’échec est issu ici d’un collage-montage de voix et voies de nos foirades. C’est loufoque et ethnographique, burlesque et doucement révélateur. Comme une représentation live qui échoue par intermittence. »
QUATRIÈME MUR, 03 novembre 2023, Rencontre tendre et drôle avec nos échecs
« Elles aiment questionner ce dont on peut parler au théâtre mais aussi comment en on parle et de quelle manière se nourrir des différents arts de la scène. Ainsi, ce qu’elles extraient en mots, les comédiennes le mettent aussi en scène, en corps, en musique et en chant lyrique, dans des personnages colorés et très expressifs, dans leur jeu complice et dans les surprises scénographiques. Elles proposent la lumière et la scène aux récits d’inconnus, leur récit d’échec qui nous parle à tous.tes. »
Les invitées du 12h30, RTS La Première, 23 octobre 2023, – Alenka Chenuz et Amélie Vidon
© Magali Dougados
Y a pas de mal
Le Temps, 20 septembre 2021, Chahuté par le covid, le festival La Bâtie a sauvé l’essentiel
« La jolie surprise de ce millésime, enfin ? Y a pas de mal, un spectacle malin sur la masturbation. Toutes deux issues de l’École des Teintureries, les comédiennes et chanteuses Alenka Chenuz et Amélie Vidon restituent de manière faussement innocente des témoignages glanés sur le sujet. C’est une façon de chasser l’anxiété ambiante. La quête du plaisir, au fond, comme fil rouge par temps incertains. »
24 heures, 07 mars 2023, Paroles d’onanistes
« Telles des ethnologues du plaisir, Alenka Chenuz & Amélie Vidon incarnent les « confessions » de six personnes dans leur spectacle Y a pas de mal. Le tout ponctué par des interludes franchement réussis, telle la chansons de « La masturbation » avec des voix de sopranos ou un solo d’air guitar, cheveux au vent dont la symbolique n’a pas besoin d’être explicitée. »
RTS Culture, 04 septembre 2021, Y a pas de mal, drôle de théâtre sur la masturbation
« Ce spectacle aborde l’auto-érotisme en toute simplicité, avec humour et finesse. La seule provocation de « Y a pas de mal », qu’on ne lui reprochera d’ailleurs pas, c’est d’avoir choisi ce sujet dont on ne parle que rarement sur un plateau de théâtre. […]
« Y a pas de mal » n’est pas démonstratif ou pédagogique. Ni même militant. Il évite d’être scabreux, ce qui est un exploit. Ce spectacle est tout simplement joyeux. Car il est ici d’abord et avant tout question de plaisir. Et de jeu. Un mot que l’on prendra dans tous les sens du terme.»
© Charles Mouron
VERTIGO, RTS La Première, 31 août 2021
« Ce spectacle qui se veut malicieux, polisson, plein de surprises, de trouvailles théâtrales mais surtout pas vulgaires. Y a pas de mal aborde tout en finesse et en sourire ce thème. Point de vue masculin, point de vue féminin, point de vue autre. Il ne s’agit pas d’un cours ou d’une démonstration pratique, c’est le fruit de longues heures d’entretiens. Un spectacle vif à souhait ! »
EPIC – Magazine, 01 septembre 2021 Festival La Bâtie : la sélection d’EPIC, spéciale scène locale
« Sur scène, les deux comédiennes s’appuient et jouent avec quatre entretiens sur le sujet de l’auto-érotisme, menés avec six personnes d’âges et de genres différents. Une parole brute qui vient interroger avec acuité notre rapport à l’intimité et au désir. EPIC avait d’ailleurs donné la parole à Amélie Vidon lors d’un épisode d’EPIC OMOT pour qu’elle présente un projet qu’on ne saurait trop conseiller de découvrir. »
L’Agenda, N°101 mars/avril 2023, Plaisir partagé
« L’aisance et la connivence sur scène d’Amélie et Alenka permet au public de se sentir proche des comédiennes et incite les conversations. Le public sort joyeux de la pièce, on sent que les personnes ont envie de parler de masturbation. Le pari d’ouvrir un dialogue et de dédramatiser un non-dit est donc bien tenu ! »
EPIC OMOT, 8 avril 2021, Amélie Vidon
« Dans un travail de rencontre par la parole brute, une parole au plus proche du réel, les deux comédiennes invitent au dialogue et à la poésie. »
Journal Riviera Chablais, 18 janvier 2023, Des héroïnes tragiques et de la masturbation
« Choix osé pour Alenka Chenuz et Amélie Vidon avec une pièce sur la masturbation. La pièce Y a pas de mal propose d’utiliser les mots des autres pour parler d’un thème tabou : la masturbation. Les deux comédiennes ont réalisés une série d’interviews et s’évertuent à transmettre ces mots à l’hésitation près, au souffles près. Elles en ont fait un montage qui traverse la thématique avec beaucoup de finesse et de tendresse, en évitant les écueils de la lourdeur et de la gêne, et qui réconcilie tout le monde sur ce thèmes. On en ressort avec le sourire et avec l’envie de rencontrer ces gens. »
Radio Couleur 3, 26 janvier 2023, Podcast Club Cake
Radio Chablais, 31 janvier 2023, Alenka Chenuz
Télé Bielingue, 11 janvier 2023, Comment parler de masturbation au théâtre ?